Toutes les amétropies (défauts visuels réfractifs : myopie, presbytie…) sont opérables. Certaines limites existent néanmoins pour les défauts hors norme ; Tous les candidats à la correction laser ne sont pas éligibles.
Le bilan d’éligibilité permet de vérifier que le candidat présente des cornées saines et normales, et toutes les conditions requises sont validées afin que vous soyez pleinement satisfait du résultat à attendre.
La myopie évolue classiquement entre 10 et 25 ans.
Un astigmatisme régulier évolue peu
Toutes les amétropies (défauts visuels réfractifs : myopie, presbytie…) sont opérables. Certaines limites existent néanmoins pour les défauts hors norme.
Le bilan d’éligibilité permet de vérifier que le candidat présente des cornées saines et normales, et toutes les conditions requises sont validées afin que vous soyez pleinement satisfait du résultat à attendre.
Les défauts visuels réfractifs : myopie, presbytie… se combinent généralement. Rares sont les patients sans astigmatisme, rares sont les adultes sans presbytie. Le diagnostic et le traitement de ces défauts est complet, et tous ces défauts sont pris en compte de nos jours.
Pour aller plus loin, le Centre Laser Vision Bourgogne réalise une recherche aberrométrique avant le traitement afin de dépister une éventuelle aberration géométrique (non corrigeable par des lunettes ou des lentilles) qui peut en revanche être corrigée de manière transparente avec les équipements et procédures du Centre Laser Vision Bourgogne.
Bien entendu, le Centre Laser Vision Bourgogne est spécialisé dans la correction de la presbytie avec un certain succès. Les patients presbytes sont devenus naturellement une part importante des patients soignés au CLVB.
La presbytie se traite très bien dans le cas d’un sujet sans défaut réfractif avant l’âge adulte et la presbytie d’un sujet myope/astigmate/hypermétrope se traite en même temps que les autres défauts.
La technique LASIK au Centre Laser Vision Bourgogne permet une récupération fonctionnelle totale le lendemain du traitement. Il n’y a pas de période de convalescence après un LASIK au CLVB. Pas d’arrêt de travail nécessaire…
Le CLVB a fait le choix technique du laser femtosecond ZIEMER Z2 qui permet la récupération fonctionnelle la plus rapide actuellement, grâce à la finesse du dessin du capot de LASIK.
fig1 graphique tirée d’une étude montrant une récupération fonctionnelle totale en 4 heures après un LASIK au laser femtosecond Ziemer Z2
fig2 schéma représentant la précision des bulles permettant le dessin du capot (fin, régulier et lisse) lors du LASIK au laser femtosecond Ziemer Z2
Dans le cadre de la technique PKR, le temps de récupération peut être plus long, de l’ordre de quelques jours.
La technique LASIK n’est pas douloureuse ni pendant ni après l’intervention. La majorité des patients rapportent parfois des sensations désagréables liés aux manipulations de l’œil. Elle est réalisée sous anesthésie locale par collyre
Le traitement laser, quelle que soit la technique utilisée (PKR, LASIK) ne requiert aucune anesthésie. On vous instillera seulement quelques gouttes de collyre pour insensibiliser la cornée.
Le patient restera en salle de traitement entre 10 et 15 minutes. La correction au laser ne prend que quelques secondes.
Les patients traités par technique LASIK, sans période de convalescence, reprennent le travail le plus souvent le lendemain sans difficultés, que ce soit pour conduire la nuit ou travailler sur un écran. Certains préfèrent ne pas travailler le lendemain par prudence.
Pour répondre complètement à la question, une petite gêne liée à une lubrification imparfaite de la surface oculaire peut se faire sentir les premiers temps.
Le coût du traitement au laser peut varier entre 2200 euros et 2800 euros tout compris que l’on traite un œil ou les deux yeux.
Attention, ces tarifs sont donnés à titre indicatif et sont susceptibles de varier selon l’expérience, la notoriété, et la qualification du chirurgien. Un devis vous sera remis le jour de votre traitement laser.
Les deux techniques dites de « chirurgie réfractive » sont des actes reconnus par l’Assurance Maladie et intégrées à la nomenclature dite « CCAM ». Néanmoins, l’Assurance Maladie ne prend pas en charge ce traitement considéré comme un geste de confort.
En revanche, les assurances complémentaires dites « mutuelles » proposent des remboursements croissants ces dernières années devant le succès rencontré et la demande des patients. Renseignez-vous auprès de votre assurance complémentaire à l’aide du devis et du courrier fourni.
Le choix de la technique ne devrait pas être imposé par des dictats économiques ou par les laboratoires…La grille tarifaire du CLVB est volontairement conçue pour rendre les choix techniques indépendants d’intérêts économiques.
Dans une logique de recherche du moindre risque, le choix de la technique est guidé par le cas du patient d’après son examen et des topographies cornéennes, et ce choix est fait par le médecin ophtalmologiste d’après les données de la littérature scientifique actuelle, en toute indépendance, comme l’exige la déontologie la plus élémentaire.
Lorsque le bilan d’éligibilité fait apparaitre une « contre-indication », la correction au laser n’est pas réalisée.
